Je suis depuis trop longtemps un vieil homme grincheux à propos de tout ce qui concerne Dragon Ball. En tant qu’enfant typique de Toonami qui ne lit pas de mangas et regarde des anime grand public, j’ai tracé une ligne dans le sable après quelques épisodes. Dragon Ball Super quand je lui ai donné une chance pour la première fois. Je n’allais pas continuer à regarder parce que ses premiers épisodes ne ressemblaient pas à l’anime d’action avec lequel j’avais grandi. De même, avant Des étincelles ! Zéroje n’avais plus joué à des jeux vidéo Dragon Ball depuis Budokai Tenkaichi 3 parce qu’aucun des titres sortis entre les deux n’était à la hauteur de ce que je considérais comme la quintessence des jeux de combat de l’IP.
Heureusement, le temps est un cercle plat dans une culture pleine de nostalgie, et aujourd’hui, j’ai un nouveau Tenkaichi jeu dans ma vie. Mais avec le bénéfice de la maturité et du recul, je me demande combien de bonnes merdes j’ai raté en étant trop fidèle aux anime et aux jeux de combat de mon enfance. Est-ce que cette croissance et cette clarté m’obligeront à enfin jouer Kakorot ou CombattantZ? (*En retard Narrateur de Dragon Ball voix*) Non, probablement pas. Mais depuis, j’ai parcouru l’arc d’ouverture quelque peu juvénile de Beerus dans Dragon Ball Super et j’apprécie surtout le reste du spectacle (seul Maître Zunō lui-même sait ce que l’avenir me réserve et TOUJOURS).
Pendant que je tombe plus profondément dans les terriers des deux Super et Des étincelles ! Zéro, découvrez quelques-uns des Ma ville une couverture qui a rendu mon temps avec ce dernier encore plus agréable.